
Aller simple pour Bréhat


Pour en savoir plus sur ce roman:
Aller simple pour Bréhat, comme l’indique son titre, a pour lieu la Bretagne, l’île de Bréhat et ses environs proches, Paimpol et le sillon de Talbert.
1- C’est un roman d’amours, amour au pluriel.
- amour dans le sens classique d’idylle, puisque l’héroïne Elaïa, trentenaire, y rencontrera celui pour qui elle quittera l’île de France où elle vit et s’en viendra vivre sur l’île, un aller simple pour Bréhat.
- amour de la nature, étant donné qu’une large part est donnée à la description de différents lieux, notamment l’île nord dont le côté sauvage correspond bien à l’héroïne.
2- C’est également un roman d’évolution du personnage principal. Au début du récit, elle apparaît célibataire convaincue, encore sous le ressenti de sa dernière mésaventure amoureuse. Elle est donc fragile, peu sûre d’elle. Peu à peu, on la voit s’extraire de ce côté sauvage, renfermé, à contrecœur tout d’abord, puis avec de plus en plus de sincérité.
3- C’est un roman métaphorique
- L'héroïne est une métaphore de l’île, elle apparaît tout d’abord discrète puis généreuse, au fur et à mesure qu’on la découvre, au-delà des apparences. .
- Métaphore également quant à la courbe du récit : j’ai voulu ce texte comme un ressac, c’est à dire que l’action tour à tour s’étire, enfle, s’abandonne, refait surface.
4- J’y ai inséré quelques parts d’ombre, parce que pour moi, c’est là que s’épanouit la vie, et c’est ce qui la rend en définitive belle.
Au niveau de la narration proprement dite :
- C’est un roman tout en douceur, qui apporte un sentiment de quiétude.
- L’écriture est très travaillée, notamment au niveau des descriptions qui sont, je crois, écrites de manière poétique, très évocatrices, une écriture épurée également, là je pense entre autres à deux chapitres que j’ai mis en contrepoint, ceux intitulés Nuit, où l’écrit est simplifié à l’extrême, presque de l’ordre du haïku.
- La narration est empreinte de symboles :
- L’hirondelle : le prénom de l’héroïne, Elaïa, signifie hirondelle en basque. Je l’ai décliné sous plusieurs facettes, la sterne qui sera sauvée, gwennili von armor, le nom de la maison où vivra Elaïa…
- Une symbolique que l’on retrouve par le biais d’un pendentif, une fleur de vie, réputée apporter protection, douceur et harmonie.
- J’ai également inséré des contes, les légendes du Paon, du sillon de Talbert, spécifiques à cette région, et les ai placés là aussi en tant que résonnance avec l’état d’esprit de l’héroïne.
Pour terminer, voici les types de lecteurs qui pourraient apprécier mon roman.
Ceux qui aiment la Bretagne, bien entendu, son côté sauvage, nature, porteur de légendes,
Ceux qui cherchent une écriture travaillée, évocatrice,
Ceux qui ont besoin d’un roman optimiste, qui fasse du bien lorsqu’on le lit.